Pour la puissance impériale, les barbares sont des peuples inférieurs, à conquérir puis à intégrer.
• En Orient, le pouvoir romain doit défendre son territoire face à l'Empire perse sassanide et aux migrations des peuples germaniques, liées à l'arrivée des Huns après 370 • En Occident, la puissance déclinante de Rome ne peut plus espérer détruire les supergroupes barbares (Wisigoths et Vandales) installés dans l'Empire • L'essor du christianisme permet un rapprochement entre Germains et Romains, et la création de royaumes romano-barbares (Gaule, Hispanie, Afrique...) scelle définitivement le sort de l'Empire d'Occident après 460, tandis que l'Empire d'Orient perpétue l'idée impériale autour de Constantinople.
Plus de 100 cartes et infographies pour comprendre la chute de l'Empire romain d'Occident, l'un des éléments majeurs de la formation du monde européen ultérieur.Détails du livre
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Éditeur
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Texte original
Oui -
Langue
Français -
Langue d'origine
Français -
Date de publication
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Nombre de pages
99 -
Thème
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Collection
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Série
À propos de l'auteur
Hervé Inglebert
Hervé Inglebert est professeur d’histoire romaine à l’université Paris-Ouest Nanterre-La Défense et membre senior de l’Institut universitaire de France. Il codirige la collection « Nouvelle Clio » (PUF)._x000D_
Il a publié Les Romains chrétiens face à l’histoire de Rome. Histoire, christianisme et romanités en Occident dans l’Antiquité tardive (IIIe-Ve siècles), Études augustiniennes, 1996 ; Interpretatio Christiana. Les mutations des savoirs (cosmographie, géographie, ethnographie, histoire) dans l’Antiquité chrétienne (30-630 après J.-C.), Études augustiniennes, 2001 ; Histoire de la civilisation romaine, PUF, 2005.